Pharmacopée n°69

« Si avons-nous beau monter sur des échasses, car sur des échasses encore faut-il marcher de nos jambes. Et au plus élevé trône du monde, si nous ne sommes assis que sur notre cul ».

C’est Montaigne qui le dit. Se fuir, c’est tomber de haut. La paix, la liberté et la joie se glanent aussi, tout en bas, au ras du sol …

 

5 Comments on “Pharmacopée n°69”

  1. Merci Monsieur Jollien d’être là pour nous rappele, nous inviter à faire de nos quotidiens des petites vies tisseuses d’Amour et de liens. Notre monde a besoin de ferments d’unite,de porteurs de lumière et de Joie …de cœur avec vous sur cette route.
    Au plaisir de vous entendre et de vous lire.
    Annie

  2. Bonjour Alexandre,
    Nos chemins se sont croisee quelques fois. Je demeure en gaspesie. Je participe a un groupe de lecture. Notre prochaine livre est votre livre :la sagesse espiègle.

    Pour ma part , je prends de plus en plus conscience que je recherche la liberté qui me fait marcher vers la paix.

  3. Se fuir, la fuite peuvent aussi être alliés, même et peut être surtout tout en bas , au ras du sol… oû il est difficile de glaner la paix la liberté la joie vu l’épuisement le manque de foi et l’angoisse d’anéantissement …
    Mais toute ma reconnaissance à Montaigne et Alexandre …

  4. Bonjour Alexandre.

    Avoir les fesses bien posés sur une chaise est s’en nul doute important. je vous rejoint, sur le fait qu’il faut , en plus de cela gardé les pieds bien sur terre.

    la verité est certes sous nos pieds, mais ne voir que cela est un problème.
    Comme le disait Krishnamurti: la vérité est un pays sans chemin.
    beaucoup de personnes savent que derrière les nuages, il y a le soleil. Et garde l’espoir qu’il reapparaisse. Rare sont ceux qui voit derrière le soleil, l’espace. Leur esprit ne connait alors plus de limite.
    la Vérité siège alors partout et toujours.
    pour eux.

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