Pharmacopée n°60

Bon été à tous et à chacun. A l’heure de plier bagages pour rentrer à Lausanne et dire adieu à cette magnifique Corée qui nous a nourri pendant trois ans, une distinction d’un ami dans le bien m’aide, me réjouit et me porte. Il y a le tragique de l’existence, la solitude, la souffrance, la maladie, la méchanceté et la violence. Surtout, n’en rajoutons pas en tombant dans le psychodrame, cette tempête mentale totalement inutile qui nous coupe de la bonté du monde. La vie est comme un train, d’étape en étape, il avance et encore et toujours, la souffrance apparaît dès que l’on souhaite se fixer à quelque part.

Merci de votre soutien. Que chaque instant nous rapproche de la joie, de la paix et de la générosité, celle qui habite à fond le tragique et chasse les psychodrames qui nous empêchent de voyager le coeur léger.
Alexandre

21 Comments on “Pharmacopée n°60”

  1. Cher Alexandre! Merci de prendre le temps de venir donner de vos nouvelles. Que votre retour chez vous soit doux et plein de tendresse, comme un ami que l’on retrouve et qui nous attend depuis 3 ans. Je vous souhaite de cultiver tous les trésors que vous ramenez de Corée, qu’ils continuent de vous nourrir chaque jour et d’illuminer vos vies à tous les 5.
    Christine

  2. Merci Alexandre pour cette 60ème pharmacopée que j’attendais avec patience! 🙂 Bon retour et au plaisir de vous lire de nouveau. En attendant je lis et le relis les autres livres. Merci pour votre bonté!
    Viviane

  3. Bien cher Alexandre,
    Soyez assuré de mon pauvre soutien à vous et votre famille. Que votre retour soit fécond en tendresse entre vous et en paix intérieure.

  4. Bon été à vous aussi et à votre famille Alexandre et merci pour les paroles généreuses que vous nous apportez.

  5. J’aime beaucoup l »analogie du train. L’immobilité relative du voyageur et le défilement des paysages et des gares qui nous transporte ….

  6. Merci Alexandre pour tous vos livres et le dernier Trois amis en quête de sagesse. Je suis un peu comme vous : chrétienne et bouddhiste pour approfondir ma foi. Ce livre est merveilleux pour nous aider à diminuer notre ego , seule source de nos souffrances. Peut-être que l’on est arrivé au maximum du dépouillement de notre ego, on peut « mourir »? Merci encore et merci à Matthieu R. et Christophe À.

  7. Re-bienvenue dans ce monde occidental qui vacille, qui a besoin d’êtres humains comme vous, venez vite. « J’ai tout lu » de vous, MERCI.

  8. Merci pour ces beaux partages lumineux, coeur à coeur, âme à âme, c’est bon de rencontrer des ‘amis dans le bien’ le long du chemin. MERCI et welcome back !

  9. Bonjour Alexandre,

    Merci pour cette nouvelle pharmacopée. Bon retour chez vous en famille et bonnes retrouvailles avec vos proches

  10. Bonjour,
    Voilà un retour qui ne doit pas être simple et qui va faire appel à toutes vos ressources de Philosophe. Alors, je vous souhaite de maîtriser au mieux ces moments.

  11. Bonjour Alexandre,
    Ravie de vous retrouver enrichi de vos trois ans en Corée ! Trois ans déjà. … que le temps passe vite ! Bonne installation à Lausanne. Pleins de belles choses à vous et votre famille, ainsi qu’à tous ceux qui vous lisent ou postent ici des petites paroles attentionnées. Bien amicalement,
    Eliane

  12. J espère que votre conférence sur Paris se passe bien. Après notre rencontre et nos remerciements mutuels, j ai voulu suivre vos mots « a bientot ». Les places ce soir sont limitées…votre mot « courage » m a fait du bien et en même temps de la peine. Nous sommes une grande famille qui en a tellement besoin. Continuez bien. Je vous suis…bien a vous.

  13. Je découvre ( mieux vaut tard que jamais…) votre travail.Merci pour votre vitalité et votre bienveillance. J’espère que c’est contagieux!

  14. A. Jollien pense qu’il ne faut pas verser dans le psychodrame, savez-vous comment faire ? Pouvez-vous donner un exemple ?

  15. La souffrance ne vient pas de sa condition de naissance. Tous le monde naît différent .
    Oú peut être la vérité si ce n’est dans l’interdépendance entre toutes les différences ?
    Nous sommes tous comme une étoile regardé. Regardé par le ciel infini. Notre père qui nous aime. Cette étoile n’est déjà peut être plus. Pourtant elle reste visible dans ce ciel, partout dans l’univers.
    Aux yeux de l’absolu , chaques étoiles , chaques existences, demeurera pour toujours dans la vie éternel.
    Nous sommes toujours , comme nue dans une rivière, ce berceau de la vie . Permettons nous de sentir le courant de l’eau . Qui est le passage de la tendresse de notre mère qui nous aime plus que tout.
    Tout procède de l’amour.
    Et cela a toujours été et cela le restera.

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