En 2002, je récidive avec Le métier d’homme où j’ai voulu me confronter aux grandes expériences de l’être humain : le corps, la souffrance, le rapport à l’autre et la nécessité d’enraciner le progrès dans le quotidien.

Ce livre est peut-être une invitation à considérer chaque difficulté comme un joyeux combat.

Traduit dans plusieurs langues, Le métier d’homme, préfacé par Michel Onfray, entend donner quelques pistes pour s’avancer avec légèreté sur les chemins de l’existence. Il convie le lecteur à une conversion du regard : donner sens à la souffrance pour qu’elle n’ait pas le dernier mot et que la joie demeure.