Peut-être ne convient-il pas de lire sur le zen car, avant tout, il s’agit de l’expérimenter, de vivre le zazen à fond. Faire zazen, être zazen avec tous ses problèmes, avec son entourage, ses fragilités, son désespoir. Pourtant il est des livres qui nous reconduisent vers la simplicité.

Comme Daniel Morin, Sekkei Harada nous montre que la spiritualité se pratique en chaque occasion, qu’elle réside dans l’acceptation inconditionnelle de l’instant présent, attitude de reddition totale qui permet l’accès à la joie. Quand il n’y a plus rien à protéger ni à prendre, la vie surgit en abondance.

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